Les Libérales
Parution 1956-1959, 1971
Éditeur Gallimard
Traduction Littérale
Lecture Agréable
Public Tout public
Confession Non confessionnelle
Source AT Massorétique
Source NT Minoritaire
Deutérocanoniques Oui
Ordre des livres Hébraïque
Unités poids et mesures Ancienne

LA PLÉIADE, QU’EST-CE QUE C’EST ?

La Bibliothèque de la Pléiade est une collection d’ouvrages français et étrangers qui constitue une référence en matière de prestige, de qualité rédactionnelle et de reconnaissance littéraire des écrivains.
Être publié dans « la Pléiade » représente une sorte de consécration pour les écrivains et seul un nombre réduit l’ont été de leur vivant. Il était donc normal que les écrits sacrés de la Bible figurent dans le catalogue de la Pléiade. Note de l’éditeur : « La Bibliothèque de la Pléiade avait inscrit depuis longtemps à son programme une traduction intégrale de La Bible. Cette traduction devait être, par ses qualités littéraires, digne des grands classiques français et étrangers qui ont établi le renom de la collection. »
La pléiade est, en quelque sorte, une collection d’archives littéraires des plus grands succès de tous les temps, de tous horizons confondus, un peu comme l’avait conçu le roi Ptolémée Ier Sôter quand il entreprit la bibliothèque d’Alexandrie en -295 av JC.

« La Bibliothèque de la Pléiade » est créée en 1931 par un jeune éditeur indépendant, Jacques Schiffrin, juif originaire d’Azerbaïdjan et c’est une collection à part entière de sa maison d’édition — les Éditions de la Pléiade/J. Schiffrin & Cie, créée en 1923. Sa conception est singulière et novatrice : il s’agit de proposer, au format poche, les œuvres complètes des auteurs classiques, en préservant un grand « confort » de lecture. D’où le papier bible, le petit format et la couverture de cuir souple. Baudelaire, Racine, Voltaire, Poe, Laclos, Musset, Stendhal sont les premiers à avoir eu les honneurs de la collection.
Schiffrin aura des admirateurs et, quand il rencontre quelques difficultés de trésorerie, André Gide et Jean Schlumberger, tous deux administrateurs de la NRF (Nouvelle Revue française), conseillent à Gaston Gallimard de lui porter secours.
Le 31 juillet 1933, « La Bibliothèque de la Pléiade » est intégrée aux Éditions Gallimard, J. Schiffrin conservant la direction jusqu’au début de la Guerre.
En 1940, Jacques Schiffrin est licencié par Gaston Gallimard en raison des lois sur le statut des Juifs et il s’exile aux États-Unis grâce au soutien financier d’André Gide. Jean Paulhan prend alors la direction de la collection.

Si la présentation des volumes n’a guère changé, « La Pléiade » devient à partir des années 1950-1960 la collection de référence que nous connaissons tous aujourd’hui.
L’appareil critique s’étend et l’attention portée aux conditions d’établissement des textes se précise ; il s’agira dès lors de trouver un équilibre éditorial conciliant plaisir de la lecture immédiate et satisfaction de la curiosité bien légitime du chercheur. Placée sous la direction de la famille Gallimard (aujourd’hui d’Antoine Gallimard, l’actuel PDG des Éditions), elle bénéficie des apports scientifiques et éditoriaux de ses directeurs littéraires successifs : Jean Ducourneau (de 1959 à 1966), Pierre Buge (1966-1987), Jacques Cotin (1988-1996) et à présent Hugues Pradier. Sous leur influence, la place des auteurs du XXe siècle se renforce, de nouvelles éditions d’œuvres déjà parues sont entreprises et la collection s’ouvre à des corpus peut-être moins familiers : classiques japonais, chinois, sanskrits ou arabes, anthologies bilingues de poésies étrangères, textes sacrés, spirituels et philosophiques…
Post-scriptum : Raymond Queneau se voit confier au début des années 1950 l’établissement d’une « Encyclopédie de la Pléiade » qui, suivant un plan méthodique, se compose de quarante-neuf volumes (1956-1991). Plusieurs ont été réimprimés dans la série « Folio Essai ».

Le premier titre à paraître fut celui de Charles Baudelaire. Œuvres, I. Éd. J. Schiffrin (10 septembre 1931)

 

Quelques caractéristiques des ouvrages de la Pléiade

La Pléiade, synonyme de luxe, vous amènera à manier le volume que vous avez dans les mains avec délicatesse, soin et attention.
La reliure, en pleine peau, est une garantie de solidité. Le choix du papier, véritable Bible 36 grammes, offre l’avantage d’allier finesse et solidité. C’est l’une des caractéristiques qui demeure, pour la majorité des lecteurs, l’emblème de la Pléiade.
Les pages sont fragiles, elles sont à manier avec soin.
Le titre, l’auteur et le décor sont frappés à chaud, à la feuille d’or 24 carats, au moyen d’un fer à dorer en bronze.
Le livre est protégé par une jaquette transparente en rhodoïd et chaque livre est présenté dans un étui carton finement décoré.
Autre détail, concernant la typographie, on remarquera dans la police de caractères qu’elle comprend des ligatures, élégantes arabesques qui relient deux lettres entre elles, st – ct – ff (il existe 43 ligatures).

 

LA BIBLE DE LA PLÉIADE

Le travail de traduction de la 1ère alliance a été confié à M. Édouard Dhorme, professeur honoraire au Collège de France, grâce à sa connaissance parfaite de l’hébreu.
C’est lui-même qui en a dirigé le travail, avec l’aide de Jean Koenig, Antoine Guillaumont, Jean Hadot et Franck Michaeli, l’un des seuls protestants de l’équipe, et qui, d’autre part, a travaillé sur la Bible à la Colombe.
L’index figurant en fin du vol.2 est le fruit du travail de Michel Léturmy.
Édouard Dhorme a traduit et commenté le Pentateuque et les livres historiques.
Esdras et Néhémie, notes et traductions par Frank Michaeli.
Antoine Guillaumont s’est chargé des 2 livres de Maccabées.

Le Nouveau Testament, quant à lui, a été confié à la direction de Jean Grosjean, qui en a fait la traduction, la présentation et les notes, avec l’aide de Michel Leturmy et la collaboration de Paul Gros. Cette Bible est le fruit du travail d’une équipe universitaire qui ne comprend aucune influence catholique ou protestante, ce qui fait d’elle une traduction non confessionnelle. Voici, longtemps attendu, le Nouveau Testament.

« La présente traduction s’est efforcée de répondre à une double fidélité : fidélité au texte dont elle suit d’aussi près que possible le vocabulaire ; fidélité aux auteurs dont elle essaie d’épouser le mouvement et le ton. Notre ambition a été de rendre à ces textes la nouveauté et la diversité qu’y trouvèrent leurs premiers lecteurs : quelque chose de leur force explosive ». Bulletin Gallimard, avril 1971.

 

Le volume n°1 de l’AT : Parution le 25 Octobre 1956 – Bibliothèque de la Pléiade, n° 120, 1872 pages
Le volume n°2 de l’AT : Parution en Septembre 1959 – Bibliothèque de la Pléiade, n° 139, 2176 pages
Le volume du NT : Parution le 28 Avril 1971 – Bibliothèque de la Pléiade, n° 226, 1088 pages
Un coffret regroupant les 3 tomes est sorti le 27 Septembre 2018 – 5136 pages.

Vol 1 ISBN : 9782070100071
Vol 2 ISBN : 9782070100088
NT ISBN : 9782070106431

 

CHOIX DE TRADUCTION

La Bible reste une référence en matière de littérature et ne pouvait donc être dénaturée dans sa traduction.
Le choix des éditeurs s’est porté sur un mode de traduction appelé l’équivalence formelle ou littérale.
Il s’agit donc de serrer le texte source le plus près possible, tout en lui apportant un style littéraire proche du niveau académique.
L’exercice peut sembler parfois périlleux mais le résultat est plutôt satisfaisant.
La lecture du Nouveau Testament est vraiment innovante, fraîche et nous fait redécouvrir la beauté de la langue française dont ses racines sont bien ancrées dans la langue grecque.
La traduction du Nouveau Testament est comparable à celle de la Osty, toutes deux proches de l’original.

Comme toute traduction littérale, les poids et mesures sont conservés dans leur unité d’origine (empan, coudée, talent…).
Les notes sont là pour apporter un éclairage d’ordre littéraire, historique, géographique. Aucune influence théologique ou doctrinale n’est exprimée, là n’est pas l’objectif.
Dans les annexes, nous trouvons des cartes, un index des noms propres et plus de cent vingt pages de concordances.

Le premier volume de l’Ancien Testament s’ouvre sur une riche introduction faite par Édouard Dhorme sur l’histoire de la bible, des traductions, la poésie primitive, le Pentateuque et les Livres Historiques.

Les livres de l’Ancien Testament se découpent dans les deux premiers volumes et incluent les livres Apocryphes.

  • Le volume 1 comprend :
    – La Loi ou le Pentateuque et les Livres historiques (incluant les 2 livres de Maccabées)
  • Le volume 2 contient :
    – Les Quatre grands prophètes
    – Les Douze petits prophètes
    – Les Trois livres poétiques
    – Les Cinq rouleaux
    – Les Deutérocanoniques (Le livre de Tobie, Judith, Baruch, Lettre de Jérémie, La sagesse de Salomon, L’Ecclésiastique ou le Siracide).
  • Le Nouveau Testament comprend les 27 livres classiques.

 

Un exemple pour justifier la précision du respect du texte source grec. Le passage d’Apocalypse 14.2 dit :

 

Certains traduisent par : était aussi comme celui de joueurs de harpe jouant de leur instrument.
Sur ce coup, la Pléiade rend au plus juste ce que dit le grec :
…et cette voix que j’entendais était comme des citharèdes qui citharisent sur leurs cithares.

On retrouve cet exemple lorsque Jésus, le soir de la Pâque dira : J’ai convoité de convoitise de manger cette pâque avec vous
ou bien Apocalypse 17.2 : A cette vue, je suis étonné d’un grand étonnement.
Que ce soit Jean ou tout autre auteur des écrits sacrés, ces hommes parlaient l’hébreu ou l’araméen. Ils pensaient en tant que juif et raisonnaient ainsi.
Ces deux exemples sont un décalque de l’expression hébraïque que l’on trouve aisément dans les textes de la Première Alliance.
Dans le récit de la tour de Babel, la Pléiade rend littéralement ce que l’hébreu dit : Allons ! Briquettons des briques et flambons-les à la flambée ! ou encore dans le récit de la bénédiction volée par Jacob en Genèse 27.33 : Isaac trembla d’un très grand tremblement.

CLASSEMENT NALOT

L’échelle NALOT vise à classer les traductions de la bible de la plus littérale à la plus dynamique. Le travail consiste à prendre quarante expressions ou idiomes, typiquement hébraïques ou grecques et de savoir s’ils sont rendus au plus près du texte original. Ce travail a montré que la Pléiade arrivait en 2ème place. Nous avons donc là une excellente traduction, précisons que plusieurs traducteurs ont contribué, ce qui fait que certains livres sont un peu moins littéraux. C’est le même travail pour la Bible Bayard, si vous prenez Genèse, le traducteur a collé au plus près du texte source alors que l’évangile de Marc ou celui Matthieu sont davantage dans une traduction dynamique.

Tableau Nalot Top 5

 

 

 

DETAILS DE LECTEUR

 

  • Lorsque nous rencontrons en hébreu le tétragramme, celui-ci est traduit par Iahvé.

 

  • La traduction de Matthieu 10.8 est très originale, du jamais lu : Vous avez reçu gratis, donnez gratis.

 

  • Les béatitudes sont rendues ainsi :

Magnifiques les endeuillés car ils seront consolés.
Magnifiques les doux car ils hériteront la terre.
Magnifiques les cœurs purs car ils verront Dieu. Matthieu 5.4

 

  • Les traditionnelles vierges sages et vierges folles sont rendues par « les sensées et les stupides » (Matthieu 25.3).

 

  • Jésus lui dit : Camarade, ainsi te voilà. (Matthieu 26.50-51). Certains traduisent : fais ta besogne ou tu es là pour cela.

 

  • …et voilà qu’un de ceux qui étaient avec Jésus (on sait qu’il s’agit de Pierre selon Jean 18-10)
    tendit la main, dégaina son sabre et, frappant l’esclave du grand prêtre, il lui arracha l’oreille. Matthieu 26.51

 

  • De même qu’Hébreux 4-12, la Parole de Dieu est plus tranchante qu’un sabre à deux tranchants.

 

  • Croire est systématiquement traduit par « se fier » (Marc 16.16 ; Jean 1.12)

 

  • Les hypocrites deviennent des comédiens comme Matthieu 6.5

 

  • et je prierai le Père et il vous enverra un autre paraclet. Jean14.16.
    Osty choisit lui aussi cette translittération du grec « parakletos » (para = contre, kletos = appelé, invité) en paraclet, bien que dans les autres traductions, la plupart ont opté pour le Consolateur.

 

  • Car Jean a immergé dans l’eau, et vous serez immergés dans l’Esprit saint dans peu de jours.
    Actes 1.5

 

  • Ils les entendaient en effet parler en charabia et célébrer Dieu.
    Actes 10.46, Idem Actes 19.6 et 1 Corinthiens 14

 

  • Et des philosophes, épicuriens et stoïciens, l’entretenaient ; certains disaient : Que veut dire ce gueux ?
    Et d’autres : Il a l’air d’un prêcheur de divinités étrangères ! Il annonçait en effet Jésus et Résurrection.
    Actes 17.18

 

  • Quand il a pris le livre, les quatre animaux et les vingt-quatre anciens sont tombés devant l’agneau
    avec chacun une cithare et des bols d’or pleins de parfums qui sont les prières des saints.
    Apocalypse 5.8

 

  • Petit détail dans l’évangile de Luc ch.24.36 : Comme ils disaient cela, lui-même se tint au milieu d’eux.
    Par contre, la Pléiade omet d’ajouter : et il leur dit : La paix soit avec vous !

 

Autre détail qui peut induire en erreur :

Notons que la Bibliothèque de la Pléiade a aussi publié des ouvrages complémentaires :

Les écrits Intertestamentaires n°337 qui comprennent : Règle de la Communauté ; Rouleau du Temple ; Écrit de Damas ; Règlement de la Guerre ; Hymnes ; Psaumes pseudo-davidiques ; Commentaires bibliques ; Apocryphe de la Genèse ; Fragments importants divers ; Hénoch ; Jubilés ; Testaments des douze Patriarches ; Psaumes de Salomon ; Testament de Moïse ; Martyre d’Isaïe ; Oracles sibyllins ; Apocalypse grecque de Baruch ; Livre des secrets d’Hénoch ; Livre des Antiquités bibliques ; Quatrième Livre d’Esdras ; Apocalypse syriaque de Baruch ; Joseph et Aséneth ; Testament de Job ; Testament d’Abraham ; Apocalypse d’Abraham ; Paralipomènes de Jérémie ; Vie grecque d’Adam et Ève ; Apocalypse d’Élie.

 

Les premiers écrits Chrétiens n° 617 : Témoignages juifs et païens sur Jésus et sur le premier christianisme : Flavius Josèphe, Suétone, Tacite, Pline et Trajan, Intellectuels et polémistes païens, Tradition rabbinique, La vie des communautés, Professions de foi, formules baptismales, Fragment de Muratori, Clément de Rome : Épître aux Corinthiens, Pseudo-Clément : IIe épître aux Corinthiens, La Didachè des douze Apôtres, Hermas : Le pasteur, Lettres d’évêques (Ignace, Polycarpe et autres), Méliton : Sur la Pâque, Actes et Passions de martyrs, Martyres de Polycarpe, d’Apollonios et d’autres saints, Lettre des églises de Lyon et de Vienne, Actes des martyrs scillitains, Passion de Perpétue et Félicité, etc.

 

Écrits Apocryphes Chrétiens, tome 1 n°442 : Sur Jésus et Marie : Prédication de Pierre – Évangile selon Thomas – Évangile secret de Marc – Protévangile de Jacques – Évangile de l’enfance du Pseudo-Matthieu – Livre de la nativité de Marie – Dormition de Marie du Pseudo-Jean – Histoire de l’enfance de Jésus – Vie de Jésus en arabe – Évangile de Pierre – Questions de Barthélemy – Livre de la Résurrection de Jésus-Christ par l’apôtre Barthélemy – Épîtres des apôtres – Fragments évangéliques. Visions et révélations : Ascension d’Isaïe – Apocalypse d’Esdras – Apocalypse de Sedrach – Visions d’Esdras – Cinquième livre d’Esdras – Sixième livre d’Esdras – Odes de Salomon – Apocalypse de Pierre – Apocalypse de Paul – Livre de la révélation d’Elkasaï. Sur Jean-Baptiste et les apôtres : Actes d’André – Actes de Jean – Actes de Pierre – Actes de Paul – Actes de Philippe – Actes de Thomas – Doctrine de l’apôtre Addaï – Légende de Simon et Théonoé – Éloge de Jean-Baptiste – Correspondance de Paul et de Sénèque.

 

Ecrits Apocryphes Chrétiens tome 2 n°516 : Sur Jésus et d’autres figures évangéliques : Évangile selon Marie – Histoire de Joseph le charpentier – Dialogue du paralytique avec le Christ – Sur le sacerdoce du Christ ou Confession de Théodose – Homélie sur la vie de Jésus et son amour pour les apôtres – Livre du coq – Assomption de Marie ou Transitus grec «R» – Évangile de Nicodème ou Actes de Pilate – Rapport de Pilate – Réponse de Tibère à Pilate – Comparution de Pilate – Déclaration de Joseph d’Arimathée – Lettre de Pilate à l’empereur Claude – Vengeance du Sauveur – Mort de Pilate. Sur les apôtres : Vies des prophètes – Listes d’apôtres et de disciples – Actes d’André et Matthias – Actes de Pierre et André – Martyre de Matthieu, de Marc l’évangéliste – Actes de Timothée, de Tite, de Barnabé, de Thaddée – Martyre de Thaddée arménien – Actes de Jean à Rome – Passions de Pierre (dite du pseudo-Linus), de Jacques frère du Seigneur, de Philippe, de Jacques frère de Jean, de Barthélemy, de Matthieu, de Simon et Jude – Prédication de Barthélemy dans la ville de l’Oasis et martyre de Barthélemy – Actes de Matthieu dans la ville de Kahnat et martyre de Matthieu en Parthie – Prédication de Jacques fils de Zébédée et martyre de Jacques fils de Zébédée – Martyre de Luc. Visions et révélations : Première Apocalypse apocryphe de Jean – Apocalypse de Thomas – Oracles sibyllins. Lettres : Lettres de Paul aux Laodicéens, de Jésus-Christ sur le dimanche, de Lentulus – Épître du pseudo-Tite. Roman pseudo-Clémentin : Homélies – Reconnaissances.

 

 

Le volume n°1 de l’AT : Parution le 25 Octobre 1956
Le volume n°2 de l’AT : Parution en Septembre 1959
Première Jaquette