Expression grecque désignant le Nom de Dieu, nom imprononçable par un juif afin de ne pas profaner le 3ème des 10 commandements. Tiré de tétra = 4 et de gramma =lettres, il s’écrit en hébreu
Seul le grand sacrificateur pouvait le prononcer en ce grand jour du Yom Kippour. Personne ne connait sa juste prononciation depuis la destruction du temple en 70 après J-C. Certains ont pensé insérer les voyelles d’Adonaï au Tétragramme le rendant ainsi pour Jéhovah. D’autres traducteurs ont opté par Jova, d’autres que l’on retrouve plus couramment comme Yahweh ou Yahvé. Les bibles protestantes en particulier ont préféré rendre par l’Éternel ou le Seigneur. Selon la Jewish Encyclopedia (1906), le Tétragramme apparaît 5410 fois dans le Tanakh. Ces occurrences se répartissent ainsi : 1419 dans la Torah, 2696 dans les Prophètes (Nevi’im) et 1295 dans les Écrits (K’touvim).
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